Nom : O’Ryan
Prénom : Lyäna
Sexe : Féminin
Age : 18 ans
Végétal assigné à la naissance : L’Edelweiss
Sexualité : Hétérosexuelle.
Lieu de naissance : Dans un village libre.
Comportement avec son maître : Jouant la carte de la soumission, Lyäna est absolument docile avec son maître, ce qui ne l’empêche pas de rêver de liberté. Si elle est calme pour le moment, qui sait ce qu’il en sera le jour où l’occasion se présentera de renverser les rôles ?
Description physique : Dire que Lyäna est belle serait un euphémisme. La jeune falmaris semble avoir le don d’éveiller passions et convoitises au premier regard qu’elle vous adresse, de ses yeux bleus profonds, qui la rendent si mystérieuses. Ses lèvres roses, aussi douces que des pétales de roses, ajoutent la deuxième touche de couleur éclairant son visage pâle, parsemé de quelques tâches de rousseurs, et encadré par ses cheveux bouclés. Ces derniers, noirs de jais, jamais attachés, tombent en cascade sur ses épaules. De taille moyenne, elle mesure environ 1m65, possède un ventre parfaitement plat, ainsi que des formes généreuses, comme pour ajouter au désir qu’elle éveille déjà. Sa démarche souple, féline, lui donne un air fragile, comme si elle était incapable du moindre éclat brutal, comme s’il fallait sans cesse la protéger.
Description psychologique : On peut avant tout, dire que Lyäna est manipulatrice. Sous sa docilité crépite un feu ardent, une passion ; la liberté. Cependant, intelligente, elle sait parfaitement qu’elle n’a que de maigre chances de se débarrasser des chaînes de son esclavage, aussi enchaîne-t-elle les concessions, s’attirant la confiance de ceux qui l’entourent, en vue du jour où peut-être, viendra l’occasion de les tromper pour recouvrir sa liberté. En attendant, son obéissance ne l’empêche pas d’avoir un caractère énergique, d’aimer faire la fête, et s’amuser. C’est ainsi que la voit ceux avec qui elle se sent à l’aise, avec qui elle lie facilement conversation. En revanche, il lui arrive également de ne pas « sentir » certaines personnes, aussi devient-elle à ce moment là, beaucoup plus discrète, semblant timide. N’étant pas née avec la capacité naturelle de conserver son sang-froid, Lyäna s’efforce de jour en jour, de maîtriser ses émotions, de conserver une impassibilité totale, tout particulièrement lorsque la colère menace de la submerger et qu’elle se retient d’exploser. Dans ces moments-là, elle paraît plus calme que jamais, même si son attitude, tête baissée, dissimule tout le contraire.
Histoire : Lyäna naquit il y a dix-huit ans de cela, au milieu de la forêt Irlandaise, par une nuit claire, où la lune et les étoiles, illuminaient le rideau de velours noir que formait le ciel. Lorsque le bébé, dans les bras de sa mère, eut cessé de crier, on lui attribua pour végétal, l’edelweiss, petite fleur de montagne, rare, aux pétales aussi blancs que son visage était pâle à la lueur des astres. L’enfant grandit, vagabondant pieds nus sur les chemins, entourés d’amis de son âge, jouant à cache-cache parmi les arbres, nageant dans les lacs, sans limite aucune à sa liberté. Toute l’existence de la petite, désormais devenue adolescente, n’était que jeux, rires et fêtes. L’insouciance était le maître mot de sa vie, elle avait des amis, des parents aimants, deux frères comme les autres, dont elle était la cadette, et aucun nuage noir ne venait couvrir tout cela. Jusqu’au jour où, des rumeurs inquiétantes parvinrent de l’orée de la forêt. Plusieurs clans avaient été attaqués, et nul ne savait ce qui était advenu des survivants. Ces murmures, ne perturbaient pas pour autant les habitudes de Lyäna, qui avait désormais atteint l’âge de quatorze ans, et pour qui, ils n’étaient que vagues menaces, encore lointaines.
Lointaines, c’est ce qu’elle pensait, et la désillusion fut violente. Une nuit, ils arrivèrent. Les Hommes, qu’elle avait toujours considérés comme un mythe, une légende parmi d’autres, qu’elle n’avait jamais pu vérifier. Elle fut séparée de sa famille, et ignorant ce qu’il advint d’eux et de ses amis, fut réduite en esclavage. Elle entrait dans la vie « réelle » comme la qualifiait les Hommes, une idée stupide puisque la conception de la réalité était elle-même abstraite. Refusant d’abord obstinément d’obéir aux injonctions qu’on lui imposait, la jeune falmaris finit cependant par comprendre où étaient ses intérêts, et qu’il lui fallait sacrifier son honneur, paraître fragile, pour peut-être un jour, regagner la liberté.
Rang : Etoile d’argent
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