Mélinda Sollem Une humaine aux allures de fleurs d’Hiver
Nombre de messages : 83 Age : 32 Maître/Esclave de : N'est pas un maître, N'est pas esclave... Juste une conscience... Date d'inscription : 18/10/2007
Feuille de personnage Statut du joueur: Innactif Position du personnage: Voir règlement
| Sujet: La musique des vagues Dim 6 Jan - 1:25 | |
| Il faisait bon, le soleil réchauffait par vague la peau pâle de notre demoiselle, l’eau montant et descendant sur la plage venait mouiller ses orteils dénudé et un vent chaleureux décoiffait sa chevelure sombre. Il faisait beau. Et depuis des mois Mélinda rêver d’une pareille journée. Cela faisait depuis longtemps. Depuis longtemps notre jeune demoiselle n’avait pas mit le nez hors de chez elle. Depuis quelques mois déjà elle était prostré dans sa demeure, avec pour seul compagnie celle de son violon et des vampires de la famille qui la surveillaient attentivement. Cela faisait un mois qu’elle n’avait pas vue la véritable couleur du soleil, 31 jours qu’elle n’avait pas sentie le vent dans ses cheveux l’odeur des fleurs sauvages. Et pour cause, ses dernière escapade lui avait value une punition « TU RESTERA ICI TAN QUE TU N’AS PAS APPRIS QUE JE SUIS TON PERE ET QUE QUAND JE DIS NON !! C’EST NOON » voilà les mots exact. Mais une explication radical et primaire ne lui donnait aucune satisfaction, elle ne comprenait toujours pas pour quelle raison elle ne devait pas sortir de chez elle, pourquoi il lui était interdit d’aller hors de la propriété. En réalité, Mélinda se fichait de la raison, elle ne voulait pas savoir, trop de chose qu’elle avait apprise lui avait fait du mal, alors elle voulait rester dans l’ignorance, tout en sachant, que son père ne pouvait la garder trop longtemps enfermé.
Son violon entre les mains, son archet aussi, elle jouait, pour changer, une mélodie lente et joyeuse, s’alliant parfaitement au mouvement des vagues. La musique se faisait plus forte lorsque l’eau venait à effleurer ses pieds et plus douce quand elle se retirait. Sollem n’était jamais allé sur la plage, et pour cette première fois, elle trouva que cette expérience était parfaite. Elle s’attendait à tout moment à voir surgir sur la plage un des chiens de gardes de son père. Car, comme toujours, elle avait désobéis, elle avait franchi, cette fois la porte d’entrée comme si de rien n’était et après avoir courut quelques mètres avait échoué sur la plage. Et maintenant seule, comme toujours elle ravissait la plage et ses habitants (coquillages et crustacés). | |
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