Muileata : Diamond Mine
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

Muileata : Diamond Mine


 
AccueilRechercherDernières imagesS'enregistrerConnexion
-29%
Le deal à ne pas rater :
PC portable – MEDION 15,6″ FHD Intel i7 – 16 Go / 512Go (CDAV : ...
499.99 € 699.99 €
Voir le deal
-28%
Le deal à ne pas rater :
Brandt LVE127J – Lave-vaisselle encastrable 12 couverts – L60cm
279.99 € 390.99 €
Voir le deal

 

 Une partie de cache-cache et une hottage peu commune

Aller en bas 
2 participants
AuteurMessage
Ayala Cooper
Orpheline vagabonde
Ayala Cooper


Nombre de messages : 19
Date d'inscription : 16/06/2009

Feuille de personnage
Statut du joueur: actif
Position du personnage: résistant (violent)

Une partie de cache-cache et une hottage peu commune Empty
MessageSujet: Une partie de cache-cache et une hottage peu commune   Une partie de cache-cache et une hottage peu commune I_icon_minitimeMar 18 Aoû - 22:30

Au dehors une fête faisait rage au milieu de la nuit. Ignorant son fondement, la jeune femme contempla avec méprit la foule progressant dans les rues de la cité. Puis, pleine de dédain elle progressa jusqu’à la porte. Les marches de l’hotel se trouvaient étrangement propres pour une demeure de bas étages et à cette idée la vagabonde se souvient du lieu ou elle se trouvait. Une ville humaine… voilà sa nouvelle proie ! Pourtant, il ne s’agissait aujourd’hui pas d’attentat mais d’un simple meurtre dont il était question. Ou du moins du meurtre d’un haut dignitaire membre de l’armée. S’étant renseigné sur sa cible, la vagabonde connaissait tous les faits et gestes de l’homme qui se rendrait bientôt à son ‘harem’ particulier caché en plein cœur de la place principale. Là, il discuterait avec Djauf, le gardien, avant de s’engouffrer dans un lieu de stupre et de luxure ou il retrouverait ses 22 courtisanes aussi vampires que dépendantes. Ayala n’aurait que dix-neuf minutes entre ces deux instants. Il lui faudrait s’engouffrait dans le couloir blanc lorsque le particulier serait seul pour l’unique fois de la journée et en changement de tenue.
Après avoir commandé une simple bière, la jeune femme, déguisé en humaine, sortie à l’air libre sans le moindre regard en arrière.
Scrutant le paysage, elle réalisa se trouvait dans un lieu sinistre à ses yeux. Les murs blancs reflétaient la prospérité et aucun végétal ne peuplait les lieux. Le meurtre avait été prévu un jour de festivité car ainsi, la tueuse pouvait se dissimuler sans mal dans les égouts au milieu de la foule enthousiaste.
Le dédale sordide se trouvait sombre et froid. Les murs étaient balafrés et grisâtres pendant que les pavés laissaient résonné un bruit morbide et quasi-mué. Levant le regard vers le ‘ciel’, elle aperçut le sol du couloir ainsi que l’unique trappe y menant. Faisant donc sauter sans le moindre bruit la planche de bois, la jeune femme pénétra les lieux. Puis, se dissimulant à l’aide d’une tenue blanche, elle se concentra et attendit assise au sol.
Balançant le visage en avant, tout en portant tout son poids du coté droit, elle appuya ses coudes sur les genoux. Ses mèches ondulées lui voilèrent le visage et son regard demeura indistinct. Ses doubles lames pendaient fièrement le long de sa hanche gauche. Un vent frais provenant de la porte tout juste ouverte balaya l’allée et emmena dansait sa crinière auburn. Son oreille gauche mise à nu dévoila cinq boucles d’argent. De toutes formes, trois des bijoux étaient disposaient en boucles d’oreilles pendant que deux se baladaient au cartilage.
Sa main gauche se releva d’un geste lasse. A l’aide de ses longs doigts, elle remit en place sa chevelure et le haut de sa chemise de fête. Couleur de neige, elle pendait gracieusement vers sur son épaule droite. Le pantalon de lin lui caressa ses gambes fines et meurtries et elle s’amusa à raclait le sol blanchâtre du bout de ses semelles noires.
Quelques minutes s’écoulèrent. Ne faisant pas le moindre mouvement, l’hybride était désormais plongé dans de noirs souvenirs. En effet, le lieu lui rappelait malencontreusement la mort des siens. Elle et ses géniteurs vivaient dans un habitat similaire par sa bienveillance le jour ou eut lieu le carnage…

Un bruit sourd se fit alors entendre. Quelqu’un approchait ! Se retournant brutalement mais en silence, sa tunique voleta autour d’elle pendant que sa lame couleur sang se balançait dans un murmure métallique.
Son regard ambré et perçant rencontra le fond de la rétine d’un nouvel inconnu.

Elle abordait désormais un sourire indescriptible. Son regard perçant semblait scrutait le vieil homme. La vagabonde appréciait forcer les autres au résonnement et possédait quelques coté sournois… enfin, cela était réservait à sa première personnalité, car pour ce qui était de la seconde, elle ne pouvait qu’appréciait un inconnu…
Repliant son genou droit contre sa poitrine, elle parut à la fois prête à bondir tel un lynx et extrêmement détendu à la façon des chats paresseux.
Son apparence détachait du monde rester de fer et ses traits fins se trouvaient inchangés. Seul ses mouvements semblaient plus posés et moins noyer dans de sombres songes…
Son indexe gauche attrapa une mèche dansante devant ses yeux et l’enroula sur elle-même pendant que l’homme restait stupéfait. Ayala se demanda si cette donné se trouvait rassurante ou dangereuse. Puis revenant à la situation, qui avait la capacité de l'amusait, elle attendit patiemment une réaction.

« Je ne vous demanderai pas votre nom car je sais par avance ce que vous êtes. Mais dites moi le quel de mes ennemis a payé assez cher pour convaincre une tueuse dénuer d’honneur et sentiments de venir me chercher ? » Demanda t il fièrement et d’un ton encore plus hautain que le regard de la femme.
Mais il visait juste, elle avait pour la plupart du temps vécu du combat et du meurtre...
Oui elle le savait, elle ne devait sa survie qu'au détriment de nombreuses vies ! Néanmoins, si cette idée répugnait sa personnalité 'sympathique', l'originel (première personnalité) restait de marbre à l'horreur. Elle avait fait le choix d’évoluer dans ce monde de braises ardentes et sans pitié, elle s'y teindrait donc !

« Mais êtes-vous si puissante que cela pour oser venir me défier au cœur même de la cité blanche !? »
Le mépris qu’abordait l’inconnu étonna Ayala autant que l’idée d’un duel. Pourtant un désir de combat loyal l’animé désormais autant que la haine pour l'appelation employé pour la cité humaine.
« Beau parleur si je ne m’abuse ? » Affirma t elle dans un ricanement et un fixant d’un seul œil le guerrier.
Puis se relevant, elle pencha la main sur le coté en signe d’engagement d’un défi. Une aura combative se dégageait désormais des deux êtres.

« Mais pour répondre à votre question : tout est relatif… » puis dans un sourire charmeur, elle empoigna ses armes et convia son nouvel adversaire à en faire autant. « Un combat contre une jeune damné d'une vingtaine d'années vous tenterait il ? »
Elle se tut un instant. Elle souhaitait que chacune de ses paroles pénètre le mortel touchant enfin à une mort proche. Plongeant également des pupilles dans les siennes, elle y lut la haine et la détermination. Une irrésistible envie de le provoquer à son tour envahit alors l'hybride.
"Mais sachez toute fois que ces années ne sont qu'apparence... vous semblez être un imbécile fonçant tête baisser et dont la gloire passée a désormais mené aux putains..."
Laissant ses paroles en suspension, elle ne put retenir un large sourire sarcastique. Quel serait la réaction de l'homme ? Pourrait-elle savourer le plaisir que lui procurait la haine de ses adversaires ?
L’adrénaline ne cessant de monter, la jeune femme espéra de tout cœur ne pas laisser sortir sa seconde part... (seconde perso.) Parallèlement son regard rougit de défit se mariait parfaitement aux lèvres couleur du feu de cette vagabonde téméraire.
Débordant d’une envie combative, l’homme répondit d’une réplique descriptive et non réfléchie qui contenta la jeune femme.

« Tsss... tu sais, tuer des gens sans regret, ce n'est pas facile. Enfoncer sa lame dans le cœur battant si vivement, une plaie s'ouvrant laissant couler un liquide rouge si chaud sur les mains de l'opposant, que dire de ça. C'est tellement agréable ! Oui, très agréable ! C'est du bonheur ! Tu veux que je te dise un truc ? Ce contact des lames, l'affrontement de deux adversaires défiant chacun leurs convictions… puis rentrer et voir tous ces imbéciles soumis vous baisez les pieds pendant que les femmes seraient prêtent à vendre leur fils pour une nuit avec moi. Mais mieux encore… vous autre de la race sombre torturé et agonisant de souffrance dans nos infâmes tours noirs ! C’est ça, ma raison de vivre !! »
Encore une fois l’adrénaline monta et ne fit qu'un tour dans le sang de l'orpheline. Oui ! L’entrechoquement des lames l’appelait… quelle douce et mélodieuse musique…
« Très bien ma p'tite, on va voir de quoi tu es capable ! Approche ! Et viens donc voir 'papa' »
La dernière réaction du combattant satisfit Ayala au plus haut point, qui sans un mot empoigna Libertine (l’une de ses deux lames) devant son visage. Son œil gauche continuer de fixer celui qu’elle nommait le salop pendant que le droit restait voilé par le fer bouillonnant.
Avançant à une allure inhumaine, la jeune femme abattît son arme sur le bras de l’autre pris de court.
Elle avait elle-même déviait son geste du cœur car elle ne souhaitait le tuer… ou plutôt pas encore…

Elle fit ensuite un bon de félin vers l’arrière. Ses semelles noires produisirent un son roque sur le dédalle grisâtre. Elle se remit en position de combat, la gambe droite en avant et la gauche légèrement reculer. Ses griffes acéraient semblaient s’allonger autant que ses canines. Son ardente crinière fonçait vers l’ébène, pendant que ses pupilles dilatés rejoignaient la couleur des flammes ardentes des enfers. Ses poignés étaient dirigeaient de chaque coté car chacun tenait fermement une lame de mort. Le corps de la bannie se ‘métamorphosait’ peu à peu, vers un véritable objet de combat.
Bondissant une fois de plus vers l’adversaire, elle stoppa sa lame à quelques centimètres de son coup. Cou pale et avenant… cou reflétant la douceur de la chair et laissant apparaitre les vaines de la vie. Son instinct vampirique et sadique lui souffla de morde pendant que celui de banni et meurtrier lui hurlait de tuer…
Dans un simple cillement elle préféra taire ses voix de façon à pleinement se concentrait sur la joie l’envahissant et dut au combat.

« Quand dis-tu… !? »
La voix perçante, splendide et meurtrière vibra aux tympans de l’homme ripostant. La vagabonde jouissait désormais d’une agréable tension que lui procurait la chasse. Enfin, pas n’importe quelle chasse… en effet cette étrange femme ne tuer jamais d’animaux… non elle réservait ce sort aux êtres impures : humains, vampires, falmaris… tous y passé ! Et si elle avait un jour aimé, elle ne sans rappelait désormais plus…
L’image d’une hybride (Ayala jeune) pleurant sur le corps de son fiancé vient la tirailler. Mais, par chance celle d’une femme fière et triomphante (Ayala lors de sa période meurtrière), avançant sur des dizaines de corps inertes, et les mains couvertes de sang, prit le dessus.
Oui… elle était désormais cette guerrière… impétueuse et terrifiante !
Ses sens en alertes, elle se demanda qu’elle serait le premier coup qu’il lui porterait…
Venant finalement, la lame de l’agressé percuta celle de la sauvage. Un affrontement sanguinaire s’en suivit sans que chacun ne puisse prendre le dessus.
Autour d’elle, le monde s’était comme stoppait. Les hauts murs blancs semblaient tournoyait pendant que le toi courait à une allure folle.
L’humain sembla hésitait un instant avant de déclarer ne pas retenir ses coups.
‘Bonne initiative’ ne put-elle s’empêcher de songer.
L’attaquant fit tournoyait son arme et voulut l’abattre sur elle. En un éclair, celle-ci s’endiabla un peu plus et bondit en avant. Elle reçut alors la lame sur sa hanche droite pendant, qu’elle, raflait le bras droit de l’autre. Un sang chaud et collant jaillit de chacun et, si les marques n’étaient que peu profonde, elles étaient néanmoins puissante. Eclaboussait par le visqueux liquide, la jeune femme s’écarta d’un pas. Le coup portait, lui avait durant un instant couper la respiration. Mais par chance, ses instincts animal reprirent le dessus et la remirent en halène.
Sa tunique avait était déchirait et elle décida donc de la chemise, qu’il lui fallait conserver, dans un simple revers de main.
La guerrière se trouva alors revêtit de son eternel pantalon de lin noir ainsi que d’un long bandage recouvrant tout son torse et sa poitrine. Ses formes bien dessinés se trouvaient accentuer par le blanc des bandages serrés. Ses épaules nues laissaient entrevoir une peau fraiche et jeune. Plus pale que le reste du corps, ses bras et omoplates brisèrent un peu plus l’apparence humaine de la femme. Deux ailes tribales étaient tatoués dans sa frêle nuque dénudait. Son corps étaient également parsemaient de vielles blessures ajoutant au personnage une nouvelle touche de mystère.
Souriant à canines découvertes, elle lâcha un souffle roque.

« Voilà qui convient mieux à un combat de corps à corps… »
Un long fil rougeâtre sortait de sa récente blessure à la hanche. Pourtant, la jeune femme ne sembla nullement dérangé par ce nouvel inconvénient et tâta au contraire, sans le moindre regard, le ruisselait. Puis, ses paumes pleines de pourpre furent portaient à ses lèvres. Dans un murmure imperceptible, elle sourit cruellement et lécha le liquide dans un air de luxure. La réalité, tout autre, était qu’elle haïssait ce gout sucré mais qu’elle souhaitait enhardir son adversaire.
Puis, dans un dernier élan de sadisme, elle courut vers l’homme. Dans sa course, elle fit bondir une dague de sa botte droite. La nouvelle lame s’enfonça dans les chairs de l’être s’affaissant finalement sous les coups répétés.
La femme sourit sournoisement avant de prendre un air perdu, les lèvres entrouvertes et les yeux translucides. Un songe lointain lui revient pour la chassant de la réalité.
Une fillette de moins d’une dizaine d’années, se trouvait coincée dans une ruelle sombre. Un homme de grande taille et musclé la battait en la rendant nue. Ne souhaitant faire de tors à son maitre, l’enfant fit preuve de courage et se tut en se mordant les lèvres.
Laissant de coté sa rancœur, elle chercha dans un long désespoir une arme pouvant la sauver de cette mort sauvage. Elle se trouvait désormais allonger sur le sol glacial. Ses seins contre les dalles avaient abandonné ses épaules aux coups du guerrier. Alors que tout semblait perdu, que les mèches brunes et poisseuses se confondaient dans une abondante coulée de sang chaud, une lueur d’espoir apparu.
Une lame de cristal venait d’apparaitre à quelques centimètres d’elle. Laissant les interrogations de coté, elle se releva dans un dernier souffle et bondit sur l’objet. L’homme l’attrapa au poigné, mais trop tard… elle venait d’enfoncé et brisait la longue lame dans sa large poitrine.
Instantanément, l’agresseur tomba. Le corps nue reçut de plient fouet le poids de l’autre. Leurs visages côte à côte, elle put apercevoir avec effroi, un filet de sang sortir de la bouche béante du damné et ses yeux craquelaient par l’horreur de la mort…
Puis, recrachait vers la réalité, Ayala comprit d’où lui venait cette haine envers tous. Se mordant une fois de plus la lèvre inferieur, elle essaya de revenir à la réalité. Mais trop tard, l’attaquant ayant profitait du moment d’inactivité, elle sentit la douleur se répandre le long de son épaule gauche, pendant que les bandages blanchit prenaient une teinte rougeâtre.
Se retournant avec un regard dément, elle s’entendit insulter de fillette. Folle de rage envers le souvenir de son enfance, elle se retourna dans un rapide mouvement de façon à observer son adversaire désormais couvert du liquide poisseux.

« Je te conseille de te tenir à ta réplique…» rugit elle entre ses dents désormais prête à la torture.
Lui bondissant dessus, elle le heurta en pleine poitrine, le faisant ainsi tomber au sol. Profitant de cet instant, elle pointa sa lame rouge sur son torse. Appuyant sous le cœur, elle prit garde de ne toucher les points vitaux mais laissa une large cicatrice constellait du liquide des vaines.

« Tu es comme tout les autres… » [i]pensa-t-elle à voix haute.
Revenir en haut Aller en bas
Ayala Cooper
Orpheline vagabonde
Ayala Cooper


Nombre de messages : 19
Date d'inscription : 16/06/2009

Feuille de personnage
Statut du joueur: actif
Position du personnage: résistant (violent)

Une partie de cache-cache et une hottage peu commune Empty
MessageSujet: Re: Une partie de cache-cache et une hottage peu commune   Une partie de cache-cache et une hottage peu commune I_icon_minitimeMar 18 Aoû - 22:30

La jeune femme rejetait désormais l’image de son premier meurtre sur l’humain. Ses pupilles identiques à celles des félins laissèrent transparaitre autant de haine que de tristesse enfouie depuis trop longtemps…
L’homme se releva et Ayala réalisa se laissait emporter par la colère de souvenirs enfuies. Soufflant à cette idée, elle sourit pour la première fois sincèrement, et cela malgré les répliques fusantes.[/i]
« Je sais désormais que je ne suis plus cette fillette meurtrie et sans défense. Elle attira son sabre blanc vers elle. Le temps m’a apporté cette force du combat que j’aime pratiquer… »
Laissant sa phrase en suspension, elle reprit pleinement le combat. Plusieurs minutes s‘écoulèrent ainsi.
Le plaisir du sang et de l’action débordait de ce corps mutilé. Emplit d’énergie nouvelle et d’une soiffe, non meurtrière, mais de combat, elle prit un malin plaisir à ricochaient les coups et cela malgré les multiples cicatrices lui zélant le corps.
Certaines étincelles, dus aux frottements des lames, se faisaient plus brillante et chacun se trouvait parfois presque aveuglé par la vive lumière. Très vite, la buée des respirations haletantes apparurent. pourtant, seule l'excitation du combat persistait encore dans cet enfers de sang et fer...
La guerrière remarqua un changement dans le regard de son partenaire de combat. Son œil rouge avait prit une teinte plus claire pendant que l'autre se faisait plus ardent. Préparait-il une attaque... ? La réponse se fit d'elle-même. L’homme attaqua vers l'avant. Quelques phrases courtes s'ensuivirent. Il sembla ensuite disparaitre pour réapparaitre au-dessus d'elle. Lui tombant dessus de plein fouet et d'une force inouïe, Ayala ne put que se protégea de ses doubles lames. Elle ne put néanmoins stopper toute l’ampleur de la longue lame qui se figea dans son épaule droite.
La douleur se répandit dans tout son corps. Le sang coulait à flot le long de son bras droit. Retenant un son de douleur, elle vacilla légèrement.
Son regard couleur braise fixa le sol. Elle se trouvait désormais recouverte d'un liquide poisseux lui rappelant la mort. Le chasseur se stoppa un court instant pour reprendre son souffle suite à cette attaque. Profitant donc de ce court répit, elle releva quelque peu son pantalon pour y arrachait un autre bandage blanchâtre. Sa gambe droite se retrouva alors dénuer de bande mais retrouva vite le tissu du vêtement d'origine noir. Enroulant son bras à une vitesse folle, elle bloqua l'hémorragie en arrêtant la circulation de son sang. Ce membre désormais moue venait de devenir un véritable fardeau. Néanmoins, elle refusa de s'avouer vaincu. Dans une grande concentration elle abandonna l’une des lame qu’elle ne pouvait désormais plus porter.

'Qu’elle chance d'être ambidextre' songea-t-elle avant de prendre parole ?
"Esse ton attaque spéciale ? J’avoue être très impressionnait... mais dommage pour toi, tu as oublié mon principal atout... ma race si peu commune !"
Courant de nouveau vers lui, malgré son bras pendent, elle tendit son arme vers l'avant. Une suite de coup jaillirent. Des étincelles or virevoltèrent pendant que la jeune femme prenait du terrain sur son adversaire. Le faisait de plus en plus reculer, elle arrêta son premier manège afin dans commencer un second. Lui tournant autour, elle continua de le martelait de coups. Devant sans cesse se retournait, l'ange perdit peu à peu tout sens. Profitant de son désarmement temporaire elle s’approcha de lui. Se stoppant à quelques millimètres de son visage elle lui souffla « à mon tour… ». Puis, lui envoyant un coup dans les gambes elle le fit reculer avant de le voir se heurter à l’un des murs envahit de pourpre. Avait-elle frappé si fort ?
Elle n’en savait rien et s’en fichait pertinemment. Quelques morceaux de terre séché étaient tombés sous la collision et l’homme s’avança vers le centre du couloir. Le fixant malicieusement, elle courut vers lui. Des flammes noires sortirent de sa lame et l’aichèrent la bas du torse de l’homme. La lame chaude s’enfonça ensuite dans la chair. Virevoltant derrière lui, elle infligea un second coup au même endroit mais légèrement perpendiculaire au premier.
Lui désormais muni d’une ‘croix’ sur le torse, la vagabonde ne put juger de la profondeur de la plaie mais en fut satisfaite.

Les murs étaient parsemés de sang pendant que les pavés en étaient noyés. Le restant des vêtements ou bandages des deux êtres avaient revêtis une teinte rougeâtre et l’eau des égouts rappelaient le vin frais.
Refermant ses minces paupières, la jeune femme laissa échappait tous ses sens. Ainsi, elle se trouvait ‘aveugle’ mais pouvait ressentir tout mouvement. Elle se tenait prête à toute réplique combative et n’aurais aucun mal à renvoyer la prochaine attaque.
L’attaque parut forte mais n’attendit jamais la femme qui jugea son adversaire à bout. Pourtant, têtu, Ayala n’appréciait pas un tel final. Malheureusement des voix et des pas se firent entendre. Soufflant de désolement, l’assassin brandit son arme avant de tranchait la tête de l’ange. Le corps s’écroula à ses pieds et les yeux du mort quémandèrent la pitié pour l’éternité. Reprenant ensuite sa seconde lame, elle rentra dans les égouts ou elle disparut.


Les alarmes sonnèrent bien avant que la femme atteignent les portes de la ville. Pourtant, personne ne la retrouva durant des heures car le plan était parfait et la foule affouillable…
Malheureusement, suite à ce meurtre sanglant, la jeune femme avait regagné sa seconde personnalité. De ce fait, la vision de vampire d’une dizaine d’année battu en pleine rue par son maitre fut de trop…
Ressortant ses lames, la criminelle se rua sur l’humain qui s’effondra au premier coup.
Son regard vide et mort transperça la femme qui sans la moindre compassion se tourna vers l’enfant.

« Ca va petite ? »
« Euh… oui… merci… »
Le bruit sourd des sirènes s’éteignit se qui fit tendre l’oreille à la guerrière. En effet, la recherché venait de s’offrir d’elle-même à ses poursuivants et se trouvait de ce fait véritablement en danger.
Relevant donc le menton, la mercenaire fit quelques pas vers le centre du lieu qui se trouvait être une place de grande ampleur, vaste et dégagé.
Au loin le bruit des moteurs retentissaient pendant, qu’ici, les voix étonnés des passants s’estompaient pour laisser place aux ordres des patrouilles anti-résistants des humains. Tous fixaient la tueuse d’un regard de méprit et de crainte mêlé. Réfléchissant à toute allure, la vampire sentit les armes à feu pointés sur elle.

‘Ciel que je hais ces engins !!’ songea t elle avant de filler vers les bâtiments les plus proches et ainsi mettre un maximum de civils en danger.

Parallèlement, à quelques mètres d’elle se trouvait une humaine. Attablé dans un prestigieux restaurants, elle se trouvait en compagnie d’un homme richement paré et assiégé d’une effroyable discussion.
L’homme, d’une trentaine d’année, semblait jouir de ses propres paroles portant pourtant sur des raisonnements sans fondements et tout bonnement inutiles à la société. Face à cela, la femme, belle et jeune, semblait partagé entre politesse et méprit pour son compagnon. Sursautant tout à coup, elle remarqua finalement le grabuge se déroulant à quelques pas de là. Une incroyable troupe de militaires envahissaient la place afin de poursuivre une jeune femme courant vers le restaurant. Le regard de la riche s’empourpra et sans grandes paroles, celle-ci, força son ‘ami’ à l’accompagner au dehors de façon à mieux distinguer la scène.

Les deux humains sortis, Ayala y vit une merveilleuse opportunité et, dans un bon de félin, elle jahit sur l’inconnue. Repoussant de sa lame blanche l’homme elle se trouva de nouveau en position de force avec entre les griffes une hottage de qualité...
Son sang n’ayant fait qu’un tour, elle avait put remarqué l’étoffe soigneuse et couteuse dont l’humaine était enveloppé ainsi que l’ancène en or du lieu d’où elle venait. Il ne pouvait donc s’agir que d’une femme importante. Reculant donc à pas de loup, elle hurla aux gardes de reculer. Puis, sans un regard en arrière, elle lança sa proie sur une épaule puis bondit au travers de la foule afin de gagner les égouts pour elle si rassurant...
Revenir en haut Aller en bas
Tanis Delroy
Stupid Queen
Tanis Delroy


Féminin Nombre de messages : 108
Maître/Esclave de : Aucun ...
Végétal / Pouvoir : Aucun...
Métier : Propriétaire de la chaîne de parfum "Hoshi"
Date d'inscription : 20/11/2008

Feuille de personnage
Statut du joueur: Actif
Position du personnage: Pour l'esclavage à neutre (tout dépend de son humeur)

Une partie de cache-cache et une hottage peu commune Empty
MessageSujet: Re: Une partie de cache-cache et une hottage peu commune   Une partie de cache-cache et une hottage peu commune I_icon_minitimeJeu 20 Aoû - 12:10

Etalée peu gracieusement, vêtu d’un tee-shirt éliminé et d’un bas de jogging laissant à désirer, les cheveux en pétard, Tanis rêvassait sur son canapé. Son air bovin fixé les larges paniers de ses chiens chéris. Dans l’un se trouvait le dog noir, Pandore alors que son mari, Hadès, avait son épaisse mâchoire posé sur une des jambes de sa maîtresse… La dite maîtresse bailla tel un hippopotame avant de continuer à observer la chienne, caressant mécaniquement la tète d’Hadès… Bouh, elle était fatiguée… Vraiment… et sachant ce qui l’attendait, elle se sentait encore plus fatigué ! Et si elle simulait une mauvaise grippe ? Bon, comment faire ? Avoir l’air éméché : Ok. S’étaler sur le canapé : ok. Tousser : ok. Avoir de la température :….heu. Comment faire ? Mètre un thermomètre dans une boisson chaude ? Mouai… Et si elle se mettait au dessus d’une bassine avec un quelconque produit qui lui ferait rougir les yeux et avoir le nez qui coule ?! Oui ! ça lui était déjà arrivé çà ! Maintenant il fallait se souvenir du nom du produit…alors heu… ?

- Mademoiselle ?! Vous n’êtes pas encore allé vous préparer ?!

Tanis frissonna sous un courant froid provenant de l’aura noire de sa servante-intendante-amie-nounou. Elle se retourna lentement pour voir sa tendre servante, Ester, la fixer telle une gorgone aux serpents blonds.

- Ho et bien je me sens pas tr…

- Foutaise ! Vous avez un rendez-vous ce soir vous devez être digne de votre entreprise !

- Mais je n’ai pas enviiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiie !!!

C’est ainsi que les deux chiens purent voir leur maîtresse accrocher comme un chat sur le canapé, une quadragénaire tirant de toute ses forces sur un de ses bras, l’une comme l’autre braillant joyeusement.

- Maiiiiis Pandore va avoir ses petits cette nuiiiiit !

- Mais non ! Regardez la bien !!

Tout en maintenant fermement sa prise en jetant un regard à la chienne. En effet celle ci semblait plus prête à s’endormir qu’à accoucher. Tanis lui jetât un regard noir l’air de dire « tu aurais put jouer la comédie » mais la chienne détourna hautainement la tète pour recevoir les léchouilles tendres de son mari.

- Traitres !!!!



_______



Deux à trois heures plus tard elle se tenait au bras d’un homme qui avait un visuel charmant. Ester avait fini par la convaincre de partir et Tanis étant Tanis elle ne supportait pas de sortir sans être totalement pouponnée, tranchant vraiment avec sa vie privée.
Elle avait revêtu une tenue de soirée raffinée mais assez sobre. Elle portait une robe longue sans fioritures, sans manches, elle moulait son corps pour mieux s’évaser au niveau des genoux. Elle était bleue-nuit, brillante sous l’éclairage du hall d’entrée comme parcouru de millier de fines étoiles. Sur ses bras était passé une étole noire très pimple, alors que pour habiller ses épaules nues un fin collier d’argent brillé autour de son cou. Ses long cheveux noir avaient été coiffé par les soins d’Ester, remontés de manière semblait-il compliqués quelques mèches s’échappé par ci par là en bouclant…

La jeune femme releva son regard sur l’entrée majestueuse du Hennessy. Elle n’y était pas venue depuis de nombreuses années. Elle tourna son visage vers son compagnon, trentenaire avec un sourire à la Colgate. Répondant à une question qu’elle n’avait pas écoutée par un sourire charmant elle se laissa entraîner à une table. Rendez-vous d’affaires ! Mon œil oui ! Mais qu’est ce qu’il ne fallait pas faire pour garder des collaborateurs en bons termes ?!

Une heure plus tard, sans se douter de la danse macabre qui se déroulait non loin, elle jouait discrètement avec sa nourriture. Son compagnon était parti dans un long monologue auquel elle répondait par des sourires polis tout en se demandant pourquoi diable elle tombait toujours sur ce type de personnage. Elle avait perdu le fil de la conversation depuis un moment déjà…
Son port de tète commençait à pâtir de son ennui. Ses pensées partirent vers sa toutoune, espérant de tout son cœur qu’elle n’allait pas mètre bas en son absence. En plus c’était sa première portée, çà pouvait mal se passer !
Un bruit épouvantable la fit sursauter. Elle tourna précipitamment la tète vers la vitre mimée par son compagnon. Qu’est-ce que… ?
Une troupe de militaire venait de débarquer sur la place. Elle se leva de sa chaise, mains plaquées sur la table. De l’animation ! Qu’ils soient bénis ! Hein ?! Qu’est-ce que c’est ? Ils poursuivent une jeune fille ? Qu’elle soit bénie !
Son compagnon sembla s’inquiéter mais il n’eut pas le temps de finir sa phrase. Tanis venait de se saisir de sa main et avec un sourire diaboliquement ravi l’avait entraîné. Le temps qu’il reprenne ses esprits ils se trouvaient devant le restaurant accompagné de quelques autres personnes. Tanis qui s’était enroulé dans son étole poussa brutalement un juron… Elle n’avait pas prévu que la proie des militaires soit si rapide ! Son compagnon fut envoyé balader un peu plus loin alors qu’une poigne ferme se faisait ressentir sur elle…


- Et m*rde…

Cela résumait plutôt bien la situation.
Obligée à reculer, elle fut heureuse de ne pas avoir mit de talons aiguilles pour faire plaisir à Ester. Tiens elle allait hurler celle là… Différemment de celui qui l’avait prit un hottage. Vu la voix qui venait d’hurler à son oreille ce serait la fille de tout à l’heure. Elle était vraiment forte, habituellement elle aurait put se défendre même si sa tenue de soirée la gênait. Comment pouvait-elle être aussi forte ? Elle n’eut pas le temps de réfléchir plus longtemps qu’elle se retrouva sur l’épaule de sa ravisseuse qui s’enfuit à travers la foule poursuivi par la police, ou les gendarmes, ou les militaires, bref par les autorités.


- Hoylle !

Son compagnon toujours à terre poussa un long et désespérer « Mademoiseeeeeeeeelle !!! » à la hollywood. Tanis grimaça quand, baladée de gauche à droite, une odeur de sang parvint à son nez incroyable sensible, tous çà accompagné d’une odeur de quelqu’un ayant fait un effort. Eurck ! Non mais ho ?! Elle n’aurait pas put être enlevée par quelqu’un de plus propre ?!
Après quelques temps de se traitement, Tanis qui s’amusait à faire « je suis le poids le plus mort du monde » fini par s’impatienter. Trouvant que se faire enlever ce n’était pas une expérience très amusante, que sa coiffure n’appréciait pas d’avoir la tête en bas, elle décida de discuter avec sa kidnappeuse. Enfin autant qu’elle pouvait discuter la tête à l’envers et les militaires non loin.


- Hé ! Vous là ! Vous allez me traîner encore longtemps ? Et puis on va où comme çà ? C’est pas que, mais j’ai à faire ce soir ! Hoylle…boudi ils sont nombreux vos poursuivants ! Vous avez tué qui ?

Et c’est ainsi que débutât la folle aventure de la propriétaire de la chaîne de parfum Hoshi sans que la pauvre idiote pense à s’inquiéter de sa situation…
Revenir en haut Aller en bas
Ayala Cooper
Orpheline vagabonde
Ayala Cooper


Nombre de messages : 19
Date d'inscription : 16/06/2009

Feuille de personnage
Statut du joueur: actif
Position du personnage: résistant (violent)

Une partie de cache-cache et une hottage peu commune Empty
MessageSujet: Re: Une partie de cache-cache et une hottage peu commune   Une partie de cache-cache et une hottage peu commune I_icon_minitimeJeu 20 Aoû - 16:11

Les pensées se bousculaient à une vitesse folle dans l’esprit de la pourchassé. Il lui fallait fuir au plus vite mais également achever son coup et ainsi entrer dans les rangs de la résistance !
C’est donc pleine de songes sanglants que la jeune femme entendit la voix de son nouvel hottage.


« Hé ! Vous là ! Vous allez me traîner encore longtemps ? Et puis on va où comme çà ? C’est pas que, mais j’ai à faire ce soir ! Hoylle…boudi ils sont nombreux vos poursuivants ! Vous avez tué qui ? »

Sursautant d’abord face à ce manque d’inquiétude de la part d’une humaine en position de faiblesse, Ayala se ressaisit à la vitesse de l’éclair et tourna son adorable minois vers l’inconnue tout en continuant de courir. Là, plongeant son regard pourpre et meurtrier dans celui hébété de l’autre, elle ouvrit les lèvres afin de se lançait dans une merveilleuse mélodie. Son don psychique reprenant le dessus, c’est un champ aussi mélodieux qu’envouteur qui se fit entendre.

« Désolé ma grande mais ta soirée risque d’être pour le moins inattendu… vois-tu, je suis ce que vous autre tas de sang nommaient une sangsue en colère et en fuite. En d’autre terme ta vie ne tient désormais plus qu’à un fil et je te conseille de te montrait extrêmement coopérative si tu ne veux pas finir comme ce pauvre magistrat : une épée au travers de la gorge. »

Etonnamment pour une scène de ce genre, la riche ne sembla pas apeurait. Mais cela était bien normal puisque l’étrange don de la vampire ensorcelait chaque être de façon à leur ôter toute résistance et libre arbitre. La belle enlevée se trouva donc durant quelques minutes la bouche grande ouverte telle un poisson hors de l’eau et les pupilles dilatés face aux paroles fonctionnant à la manière des drogues fortes et résonnant durant longtemps dans l’esprit des victimes.
Puis, la chanson finie, la criminelle détourna de nouveau la tête en quête d’une issue lui permettant de rester dans la ville. De ce fait, la magie qui avait jusque là pris dans ses filets l’humaine s’éteignit et lui permit de ce fait de reprendre le cours de ses pensés sans pour autant lui ôter le picotement qu’elle devait désormais ressentir au niveau de l’estomac.
Parallèlement aux réactions démesurées qui suivirent de la part de l’enlevé, les pieds de la tueuse continuèrent à marteler le dédale sale des ruelles sordides composant les bas fond de la ville.
Au bout de quelques minutes, la jeune femme repéra ce qu’elle cherchait : une bouche dégout. Soulevant le cercle de fer la séparant de son refuge favori du bout du pied elle bondit sous la terre. Puis, laissant tomber sa proie dans un couloir puant et poisseux, elle referma soigneusement l’entrée afin de ne rien laisser paraitre de son intrusion. Chaque mouvements, précis et rapide, ne prirent pas plus de quelques secondes ce qui contenta le professionnalisme de la femme qui s’intéressa au lieu puis enfin à l’humaine.
L’obscurité se trouvait quasi-totale dans cet univers de mort que représentaient les égouts de la ville. En effet, peu le savait, mais grand nombre de ces couloirs sombres abritait toutes sortes d’animaux et d’esclaves mourant. Mélangé aux déchets des habitants d’en haut, les lieux se trouvaient donc parfumés d’une méprisable odeur de mort et de crasse. De plus, le manque de lumière permettait à toute sorte de nuisances de se rependre pendant que la mauvaise irrigation laissait stagné un liquide poisseux et gluant le long des parois des égouts. Enfin, au sol jonchait une multitude ‘d’articles’ et substances inconnues qui aurait dressé les poils aux plus robustes… Hors, Ayala se trouvait désormais recouverte de cette immonde bouillasse jusqu’au cheville pendant que la pauvre femme se trouvait les fesses en plein dedans. Sa chute avait également permit au liquide puant et noirâtre de se répandre sur elle telle un grand bain de boue ! Ainsi, la fière et riche humaine se trouvait désormais aussi présentable que les vampires du caveau après une bonne correction.
Un rapide examen mué de l’humaine apprit ensuite à la vagabonde les bons traitements que recevait l’inconnue. Sa toilette impeccable prouvait sans nul doute sa provenance d’une famille aisée ou, au moins, d’un poste actuel important. La coiffure autrefois d’une grande précision mais désormais une incroyable masse de mèches emmêlées faisait ressortir quant à elle un coté maniaque qui fit sourire la fille des rues. En comparaison, elles n’avaient en effet rien en commun ! Des cheveux ondulés et auburn face à la ceux d’une noirceur et d’une raideur à toute épreuve ; des pupilles couleur ambre tirant vers le pourpre face à un gris asiatique ; des traits et des formes parfaitement dessinées face à un visage et un corps de petite princesse… Mais le plus flagrant était sans nul doute le coté vestimentaires des deux femmes d’âges proches. La vagabonde avait revêtit ce soir là une chemise blanche accompagnait d’un pantalon de lin et d’une cape noire, parfaite pour les parties de cache-cache constituant la plus grande partie de leurs journées à elle et à la milice. Au contraire, la robe dessinant à merveille les courbes de l’humaine se trouvait d’un style classe et d’une couleur sombre mais non dissimulatrice. Enfin, la dernière des choses jurant entre les deux personnages se trouvait être leur toilette. Le maquillage face à la sueur et au sang faisait ressortir la touche comique et dramatique de la scène se jouant…


« Ton nom ? » Demanda Ayala d’un ton sec.

Ces deux mots avaient étés prononcés aussi rapidement que l’interrogatoire mué jugeant le physique de la femme et s’étant livré quelques secondes auparavant. Ouvrant la bouche d’un air mécontente, la femme fut stoppée par une main froide. Puis, approchant son visage à quelques centimètres de l’autre, Ayala lui intima de se taire avant de porter son attention sur la rue.
Les fins traits de lumière éclairant les deux compagnes provenant de la grille furent temporairement cachées par l’ombre des militaires approchant. Se stoppant juste au-dessus des recherchés, les hommes jurèrent grossièrement avant de reprendre leur recherche un peu plus loin.
Retirant lentement sa main, la criminelle laissa son visage près de celui de l’inconnue de façon à pouvoir muer tous cris qui pourraient s’en échapper.


« Ta race est véritablement basse d’esprit ! » Murmura t elle en se confortant dans sa haine face au vocabulaire des hommes d’armes. « Viens ! » Ordonna t elle ensuite en se redressant.

Malheureusement pour l’hybride, la femme ne sembla pas vouloir la suivre. Lui administrant donc un regard cruel et énervé, la combattante tira vers elle l’humaine avant de la forcer à avancer dans l’obscurité du morbide et sale dédale…
Revenir en haut Aller en bas
Tanis Delroy
Stupid Queen
Tanis Delroy


Féminin Nombre de messages : 108
Maître/Esclave de : Aucun ...
Végétal / Pouvoir : Aucun...
Métier : Propriétaire de la chaîne de parfum "Hoshi"
Date d'inscription : 20/11/2008

Feuille de personnage
Statut du joueur: Actif
Position du personnage: Pour l'esclavage à neutre (tout dépend de son humeur)

Une partie de cache-cache et une hottage peu commune Empty
MessageSujet: Re: Une partie de cache-cache et une hottage peu commune   Une partie de cache-cache et une hottage peu commune I_icon_minitimeLun 31 Aoû - 20:27

Ho le pouvoir un effet sur Tanis, certes mais la stupide petite reine n’avait pas vraiment besoin de çà pour être à l’ouest. Nulle part n’était écrit que le bout de femme était saine d’esprit, un peu folle sans vraiment l’être, spéciale et étrange à sa manière. Toute une personne plein de défauts et quelques qualités. Mais s’inquiéter de sa position ne lui vit pas dans le ciboulot, trop contente d’échapper à son compagnon…
Valdinguant sur l’épaule du vampire, elle lui posa quelques questions, se rappelant que son rendez-vous était important. Elle eut pour résultat une sorte de « bug » qui l’empêcha de lever les yeux au ciel fasse aux commentaires. Puis elle revint plus ou moins à elle avec un mal des transports qui pointait son nez. Vous croyez vraiment que c’est agréable vous, le « A dada sur un vampire » ? Du moins c’est ce qu’elle pensait…

Des minutes passèrent et Tanis fut navré de voir sa coiffure se déférent petit à petit. Elle allait avoir l’air fine ! Et elle ne savait pas encore à quel point ! Soudain elle put apercevoir son cauchemar : les égouts. Naaaaaaaaaaan tout mes pas çà. Elle n’eut pas le temps de se plaindre car déjà elle passait à travers du trou.

Splash ! Bloutch ! Stock !

Aaaargh horreuuuur ! Elle était recouverte d’un truc indéfinissable ! C’était totalement horrible et elle ne voulait même pas savoir ce que c‘était. Etre recouverte d’un truc visqueux en soit, ne la « génerait » pas vraiment mais là c’était l’odeur. La pauvre femme au nez surdéveloppé cru à une véritable agression physique. Son nez fut réellement douloureux et même ses yeux se brouillèrent pendant quelques secondes.
Se sentant observé elle releva ses yeux un peu brouillé vers sa kidnappeuse. Ouai ben elle n’avait pas grand-chose à dire, c’était un vampire en fuite quoi. Pas franchement présentable et puis bon, elle n’en avait rien à faire qu’elle soit en robe ou en pantalon! En plus il faisait noir et elle ne voit rien. Alors pendant qu’elle se faisait minutieusement observer elle tentât de sortir une main de la bouillasse en grimaçant…

Son nom fut demandé d’un ton sac. Moins coopérative qu’au départ, plus qu’incommodé par l’odeur, elle jetât un regard mécontent à sa ravisseuse. Et la politesse ? C’était pour les pigeons ? (oui parce qu’avec Tanis il faut être poli avec les chiens). Tanis allait lui faire comprendre sa façon de penser quand elle fut stoppée par une main.
Elles furent plongées dans le noir total quand des ombres cachèrent les lumières filtrant de la bouche d’égout. Ha elles allaient être trouvées ! Ha ben non… elle avait été un peu trop optimiste. Enfin, fallait pas attendre grand-chose de ces types là… D’ailleurs le vampire le lui fit remarquer. Elle leva un sourcil fasse à cette remarque et sur le même volume sonore lui répondit…


- C’est pas nouveau çà…

On lui ordonna de se lever. Heu ouai, elle voulait bien obtempérer mais là toute seule elle était incapable de se sortir de la bouillasse. Elle allait lui en faire part quand sa ravisseuse lui jetât un regard cruel et énervé. Hého elle n’y était pour rien, si elle ne pouvait pas se lever… Elle fut attrapée sans ménagement et relevé de force. Sa vue se brouilla et elle vacillât dangereusement. Tout çà à cause de l’odeur… Mais elle réussit à se reprendre et suivre avec plus ou moins de facilité sa ravisseuse. Elle se félicita d’avoir des chaussures fermés et pas à talon aiguille, tout en tentant de ne pas penser à ce qui se trouvait par terre.
De sa main libre elle avait attrapé un morceau de l’étole qui avait échappé à la trempette et le plaqua sur son nez. Se sentant immédiatement mieux par cette barrière bien que précaire, on sentit dans son pas qu’elle ne risquait plus de s’écrouler à chaque mouvement trop brusque…


D’une voix légèrement étouffé par le tissu elle reprit la parole sur le ton du blabla sur le beau temps…

- Oh et mon nom est Tanis comme tu me l’as si gentiment demandé. Et pourrais-je avoir le tiens ? Ce n’est pas que mais t’appeler « Kidnappeuse », « ravisseuse » et « pit-étre assassineuse de moi » c’est pas l’top. Et on va rester longtemps dans les égouts ? s***rie de robe !!

Splitch ! Splatch ! Une robe de soirée ce n’est pas très adapté pour marcher dans un égout
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé





Une partie de cache-cache et une hottage peu commune Empty
MessageSujet: Re: Une partie de cache-cache et une hottage peu commune   Une partie de cache-cache et une hottage peu commune I_icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 
Une partie de cache-cache et une hottage peu commune
Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Muileata : Diamond Mine :: RP :: Galway: Vieille Ville :: Les rues-
Sauter vers:  
Ne ratez plus aucun deal !
Abonnez-vous pour recevoir par notification une sélection des meilleurs deals chaque jour.
IgnorerAutoriser