Au coucher du Soleil [ Miriel ]

Lorsque les parents ont le dos tourner, lorsque l’attention se relâche, lorsque les sombre surveillants de notre demoiselle tournent la tête quelques instant mlle Mélinda en profite, comme une gamine assoiffé de liberté elle profite de ce moment d’inattention pour s’éloigner, s’éloigner le plus loin de la surveillance, aller dans un endroit ou personne ne la trouvera, loin du manoir, loin des parents, loin des vampires qui l’a surveille, même de loin.
Ce jour, il faisait beau, un soleil brillant dans un ciel bleue illuminant le parc du manoir d’une douce lueur presque irréelle. Mélinda jouait depuis une petite moment déjà du violon dans le fond du parc. Bientôt le soleil se coucherai, et, elle pourrait, à ce moment là, peu-être fausser compagnie à la surveillance. Le jour, une Falmais était chargé de garder un œil sur la demoiselle, pourquoi ? elle n’en avait aucune idée, mais ce qu’elle savait, ce que cette constante pressente dans son dos la gênait terriblement. Le jour, donc les falmaris, et la nuit, les vampires. Ses être qui lui faisait peur, atrocement peur, c’était pour cela qu’elle restait le plus souvent dans la maison la nuit, elle était entouré de mur, protégé dans sa maison, loin de ses êtres sombres…
Mais ce soir, elle en avait décidé autrement, après tout à dix-sept ans une jeune fille à bien le droit de faire ce qu’elle veut, non ? De sortir de temps en temps, d’avoir un minimum de liberté, et bien Mélinda non, elle ne sortait pas souvent du jardin, et les rares fois ou elle sortait, on l’a rattrapait rapidement, ou elle sortait pour aller chez des amis de ses parents.
Mais ce soir, lorsque un vampire remplacerai le falmaris qui la surveillait de loin, elle irait faire une petite promenade en dehors des limites du jardin.

Bientôt, bientôt, elle patientait comme une petit fille sage, elle regardait autour d’elle, tout en jouant, ce qui n’était qu’un échauffement, du violon, des accord rapides et joyeux pour une fois. Mais elle le faisait sans sourire, elle regardait devant elle, devant le couché de soleil, qui rapidement disparaissait derrière les montagnes au loin. Et, quand le dernier rayon de soleil disparut et que le falmaris quitta son post, Mélinda courut vers le fond du jardin silencieusement, espérant avoir assez de temps pour franchire le mur.
Elle s’accrocha à la branche d’un arbre, et même avec sa longue robe parfumé elle réussie à s’appuyer sur le tronc de l’arbre et à sauter de l’autre côté du mur la séparant du monde.
Elle tomba lourdement sur le sol, sur un tas de feuilles, son violon était tombé pas trop loin, elle l’attrapa et commença ce qui allait être une petite course.
La vampire qui lui courrai après la retrouverai, bien sur, mais avant, elle avait bien l’intention de vivre un peu en dehors.

C’est dans la forêt qu’elle couru, l’endroit était sombre après le coucher de soleil, mais ça ne l’empêcha pas, après avoir couru un peu de trouver un trou de lumière lunaire dénué d’arbres. Elle n’était pas très loin de ce qu’elle pensait être une ville, mais assez loin pour ne pas faire de mauvaise rencontres.
C’est debout dans une mini clairière qu’elle posa son violon sur (je me souviens plus du nom de l’endroit, je pense que c’est l’omoplate ?) son omoplate droite et lentement, plus en suite plus rapidement elle joua, emplissant la foret entourant d’une douce mélodie. Mais dans ses notes, il manquait quelques chose, un je ne sais quoi qui pourrait mettre un peu plus d’originalité dans cette mélodie..

[Mauvaise réponse, l'omoplate c'est dans le dos ^ ^]

Voilà, la jeune fille avait fini de ranger sa chambre, enfin ... Si on pouvait appeler ça ranger. Il n'y avait presque aucune différence entre avant et après. Mais la jeune fille ne voulait pas trop toucher à ses affaires. Car bizarrement quand c'était bien rangé, elle n'arrivait plus du tout à retrouver quoi que ce soit. Sauf des vêtements puisque c'est la seule chose qu'elle mes n'importe comment.

Un petit truc rapide à grignoter et Miriel se penchât à la fenêtre pour pouvoir regarder le coucher de soleil. Mais une envie soudaine de faire un tour dehors lui chatouilla les pieds. La seconde suivante la jeune fille était déjà dehors en train de mettre rapidement une petite veste noir par dessus son ensemble violet. Bien entendu, comme à son habitude elle était partit sur un coup de tête en oubliant de prévenir qu'elle sortait. Et l'idée de retourner à la maison pour le préciser à son ami falmaris ne lui effleura pas du tout l'esprit.

Après s'être royalement gamellé, Miriel se mit à marcher d'un pas tranquille. Ses pas rapide l’avaient guidé en direction de la forêt, et c'était à cause d'une racine qu'elle avait été obligée de se mettre à marcher lentement. Pourtant ce petit répit prit fin très rapidement, car un doux son résonnait dans les bois. Trop curieuse pour attendre de reconnaître le son, elle se dirigea vers ce dernier. Elle arriva bientôt en vu d'une clairière illuminé par la lune. Il y avait une jeune fille en robe qui jouait du violon. Le premier coup d'oeil avec le son en arrière plan, lui donna une image venue d'un autre monde. Avant de regarder un sol complètement noir pour avoir trébucher sur une pierre ...

"Aïe ..."

[a ouille, c’est quoi alors l’endroit ou on pose le violon, haaa je me rappelle plus comment ça s’appelle !!!]

Elle enchaînait les mouvements rapides sur cet instrument magnifique, la mélodie était originale, plutôt insolite, elle ne jouait pas souvent de musique joyeuse et pour changer celle-ci l’était. Avec une douce délicatesse elle bougeait l’archet du violon . Savourant chaque note comme un délicieux gâteau au chocolat (qui n’aime pas le chocolat xD). Ses yeux était fermaient comme s’il elle ne voulait pas la nuit qui se faisait plus sombre de minutes en minutes. Elle s’attendait chaque instant à entendre les pats discret d’un vampire de son père la ramenant au bercail, mais il ne venait pas, et elle commençait à ce dire qu’ils l’avaient oublié. Quelle veine !!
Mais un bruit un peu moins discret la fille sursauter et se retourner rapidement. Ce bruit la n’était pas n bruit de la foret, ce n’était pas un bruit d’écureuil montant au arbre, par le bruit d’un gros sanglier cherchant manger dans les herbes haute et pas non plus le bruit d’un oiseau se perchant sur sa branche, mais un bruit vaguement humain, car quel autre animal était capable d’emmètre un bruit tel que « aiie » ?
- Il y a quelqu’un ??

Pas de réponse…
Mélinda regarda autour d’elle à la recherche d’un mouvement dans la nuit, mais elle ne voyait pas, elle ne voyait plus, la nuit avait envahis la foret et un petit souffle de vent venait faire voleter les cheveux de notre demoiselle. Sa question silencieuse fut « es un vampire qui se cache dans la nuit ? ». Sa peur continuel des vampires la faisait se retourner à chaque fois qu’elle entendait un bruit suspect. Mais rare était les vampires qui laissait leur douleur transparaître, surtout pas un cris de ce genre. Et c’est ce qui, rassura un petit peu Mélinda sur l’identité de la personne qui dans la foret sombre n’était pas loin…

[Heu … Sur quoi je sais plus le mot, mais tu peux dire sous le menton puisque le violon se tient entre le machin chouette et le menton.]

Miriel prit tout son temps pour se relever. Non seulement elle c'était fait mal au pif. Parce qu'elle avait oublié de mettre les mains en avant pour se protéger. Mais en plus elle c'était fait mal aux genoux. Bon sa ce n’était pas très grave. Disons surtout que son pantalon violet était décoré de jolie marque de terre. Oh et puis de toute façon sa se laver ce genre de chose. C'est juste qu’elle ne pourrait pas le remettre demain. Mais là n'était pas le sujet de sa venu au pas de cours.

Elle leva la tête pour voir la jeune fille à la belle robe. Pour constater qu'elle ne jouait plus de violon et qu'elle semblait chercher quelque chose. Aurait-elle parlé un peu trop fort quand elle était tombée ? Oups. Sur le coup Miriel était devenu légèrement mal à l'aise car il semblait qu'elle avait inquiétait la belle jeune fille. Alors pour mettre fin à la recherche de cette inconnue elle leva la main le plus haut possible, tout en étant encore assise par terre. Et l'agita énergiquement pour qu'elle la remarque.

"Je suis là ! Désolé de t'avoir surprise, mais j'ai trébucher sans le vouloir."

En même temps, qui est-ce qui aurait envi de trébucher ? C'est bien de signaler sa présence, mais elle devrait peut être penser à ce lever non ? Oui, et c'est ce que la jeune fille décida de faire après que la fille au violon ait remarqué sa présence.

[Dsl si c'est de plus en plus court, mais j'ai passé mon aprèm à écrire des postes rp ^ ^"]

Une main ? elle venait ne voir une main s’agiter au loin quelque part dans les buissons, dans le noirs, à l’endroit ou les arbre deviennent plus sombre, ou la nuit à prit possession des lieux, à l’endroit ou la lumière émanant de lune n’éclaire rien. La lumière a beau être faible, très faible, Mélinda voyait une main s’agitait faiblement, enfin faiblement, pas trop non plus. L’instant de frayeur passé notre demoiselle s’autorisa un soupir de soulagement. La personne la bas n’était pas un vampire, sinon il lui aurait sauté dessus, ce n’était pas un falmaris, enfin, Mélinda n’en était pas sur mais cela lui semblait peu probable. La personne assise dans l’ombre ne pouvait donc être qu’un ou une humain (e).

- Pourquoi te caches-tu ??

Puis soudain comprenant ce que la personne dans l’ombre avait dit elle regarda inquiète. De nature fragile et douce elle pouvait s’inquiéter de tout et de n’importe quoi. Elle avait de la pitié pour tout le monde, les personnes les plus méchante au monde avait le droit à sa pitié. Car au fond d’elle-même, elle le savait, toute personne aussi horrible et méchante soit-elle méritait de la pitié, car dans chaque personne il y a une part même invisible et inconnue de douceur.

- Tu t’es fait mal ? tu vas bien ?

Mélinda s’approcha avec légèreté, ses peurs oubliés. Laissant sa robe traînant elle posa son violon contre un rocher et s’avança vers la foret sombre, mais pas trop quant même. Elle regarda de ses petit yeux bleues la nuit environnante. Il y avait le ciel, les étoiles, la foret, les bruits étranges, le vent soufflant légèrement vers le nord charriant toute sorte d’odeurs différente et la fraîcheur, oui fraîcheur il y avait, il ne faisait pas froid en cette nuit, il ne faisait pas chaud non plus, et le vent léger qui souffler dans la foret entretenait cette fraîcheur. Mélinda sourie quelques instants et se dit soudain que la nuit était un monde plein de merveille et pas si sombre que ça quand on regardait bien. Il y avait toujours la possibilité que quelqu’un se cache dans son dos à l’affût d’une proie et lui saute dessus, mais en doux moment ou elle n’avait ni chaud ni froid elle se senti invincible.

Alors que la belle inconnue s'inquiétait de son état physique, Miriel pris le temps de se relever avant de répondre quoi que ce soit. Elle sortit de sous les arbres, et donc de sous la partie sombre pour pouvoir se montrer à la jeune fille. Quand on regardait la scène en général on pouvait voir qu'il y avait un fort contraste entre les filles. L'une habillé en robe, avec un visage qui, pour Miriel, représentait la pureté, un ange même. Et une Miriel habillé comme le premier venu en pantalon et veste. Surtout que soit dit en passant, le pantalon était tâché de terre au niveau des genoux, et de l'herbe c'était accroché à ses fesses quand elle avait voulu se relever.

"Je vais très bien, j'avais juste trébuché sur ... Heu ... Sur je sais pas quoi."

Elle n'avait même pas pensé à regarder, quoi que ... En même temps avec le peu de lumière qu'il y avait, elle aurait sûrement eut du mal à voir ce que c'était. Et encore plus à l'identifier.

"C'était toi qui jouais du violon ? C'était vraiment magnifique. Tu pourrais en rejouer pour moi s'il te plait ? Oh et puis je suis Miriel et toi ?"

Elle avait posé toutes ses questions avec des yeux remplis d'admiration. Mais au dernier moment elle c'était souvenu qu'elle ne c'était pas présenté. Pour une fois ... Donc contre tout attente elle avait c'était présentait et attendait maintenant le prénom de la belle jeune fille.

Mélinda aperçut enfin la personne qui s’était, hum cassé la figure sur le sol détrempé de la foret. C’était une jeune femme, de toute façon ça n’aurait put être qu’une jeune femme . La personne avait la voie d’une fille, et puis, un homme n’aurait pas eu le courage de dire qu’il était tombé. Elle s’approcha alors plus près de la jeune demoiselle un sourire calme pâle sur son petit visage d’ange.
La jeune fille qu’elle eu en face d’elle lui parut dés le premier instant ou elle posa ses yeux sur son visage gentille, sympa et peut-être bien rigolote. Ce n’était pas souvent que Mélinda voyait du monde en dehors de sa famille et des proches de son père, alors pour une fois qu’elle voyait quelqu’un elle en sorte que cette personne ne lui soit pas hostile, enfin elle essayerai…

- Euuh oui c’était moi…

Mélinda rougis quelques peu, ce qui pour une fis donna un peu de vie à son teint pâlichon. On ne lui avait pas souvent fait de compliment sur sa façon de jouer du violon, pour dire vrai personne ne lui avait jamais dit. Mlle Sollem s’était toujours contenté de jouer pour elle, pour elle est pour personne d’autre. Elle jouait depuis ses sept ans sans jamais essayer de faire plaisir à quelqu’un. Juste pour elle et ses oreille.

- jouer ? pour toi ?? euuh je sais pas… Tu aimes un air particulier ?

Elle ne savait plus que jouer maintenant qu’on l’avait interrompu, son inspiration avait disparut en même temps que la jeune fille était apparut. Elle avait perdu ses moyens en attendant la voie de celle-ci et essayer de se rappeler des airs qu’elle connaissait habituellement sur le bout des doigts lorsqu’elle s’aperçut que la jeune femme lui donnait son nom et lui demandait le sien.

- Oh heureuse de te connaître Mirial, moi je m’appelle Mélinda

Miriel ne c'était pas rendu compte qu'elle avait débité une petite phrase longue. Et comme la belle jeune fille se souvenait de ce qu'elle avait dit, en tout cas c'est ce qu'il semblait. Miriel ne s'en était toujours pas rendu compte. En même temps, il est difficile de trouver un truc ou elle remarque tout du premier coup d'oeil ... Elle n'avais même pas remarqué que son compliment, qui était des plus sincère, avait fait rougir Mélinda. Mélinda ... Un jolie prénom pour une belle personne. Maintenant qu'elle l'avait vu jouer, juste avant de tomber, elle ne pouvait pas s'empêcher d'être en face d'un ange. Peut être que la lune lui avait tapé sur la tête ...

"Ben j'aime de tout. Mais surtout des musiques douce qui apaise le coeur."

Et certaine mélodie de ce genre était encore dans la tête de la jeune fille. Car généralement quand elle se mettait à chanter c'était ce genre de chanson là qu'elle utilisait. Quand ce n'était pas un truc entraînant sans queue ni tête parce qu'elle avait oublié les paroles.

"Mais tu peux aussi rejouer ce que tu étais en train de faire, je la trouvais très joyeuse. Presque aussi souriante qu'une pleine lune."

On se demande ou est-ce qu'elle avait bien put trouver une telle comparaison. Peut être en l'entendant quelque part, ou alors dans un livre. Ou en dernier recours une chanson ... Mais pour le moment Miriel ne faisait pas attention à ce qu'elle disait, car elle était plus occupée à savoir si elle était bien d'accords pour lui jouer un air de violon. Peut être qu'elle pourrait lui demander de lui faire essayer, non ? Bah de toute façon elle verrait plus tard, d'abords elle voulait écouter la belle Mélinda, si elle voulait bien.

[Ho sorry, je viens de me rendre conte que j’ai écorché ton prénom désolé désolé !!!]

Les joue de Mélinda rosirent un peut lorsque peut-être inconsciemment la nouvelle venue complimenta sa musique. Pas vraiment roug comme une pivoine, ses joues avaient simplement rosie, donnant au teint de notre demoiselle un douce couleur changeant un peu du blanc habituel. Un rapide sourire se dessina sur les lèvre de mlle Solem avant qu’elle ne reprenne son sérieux et que l’air de musique ne revienne dans sa petite tête.
Un vent frais se lev dans la foret faisant craquer les branche dans le noir. Mélinda jeta soudain un regard inquiet en direction de cette foret qu’elle avait traversé quelques minutes au par avant et soupira de soulagement quand elle se rendit conte que la seule chose qui faisait se mouvoir les arbres de la foret était le vent …
Puis de sa démarche feline elle retourna près de son violon, invitant Miriel à la suivre.
La musique avait pour certaine personnes des vertu apaisantes, d’autre en faisait leurs passion, d’autre encore considérait le violon comme un simple pas temps. Pour Mélinda jouer du violon était un peu des trois à la fois. Elle jouait depuis qu’elle était toute petite, et depuis toujours cette instrument lui ouvrait l’esprit, la rendait plus humaine, la faisait ressembler à quelqu’un de normale en cachant en même sa nature, sa nature bizarre, son regard doux et ses yeux clairs…

Mélinda porta son violon au menton( xD), et levant l’archet, la première note de sa mélodie retentie doucement dans cette clairière. D’abord lentement et calme les notes montèrent de son violon vers le ciel, puis devenant une douce mélodie emportant tout dans son passage vers un endroit autre…
Un mélange de joie et de mélancolie, un mélange de gaieté et d’une tristesse profonde. Tout cela faisait un jolie mix qui enchantée notre demoiselle qui semblait vraiment beaucoup dans ce qu’elle faisait.
Lorsque la dernière note fut complètement éteinte, et que le silence du vide revint, Mélinda déposa son violon à ses pieds et ce tourna vers la nouvelle venue…

- C’était pas mal ?!

[Ah ?! Ecorché ou ça ? Oo]

Trépignant légèrement d'impatience, la jeune fille attendait patiemment que Mélinda, dise oui ou non pour la musique. Et apparemment sa proposition avait était bien accueillit car juste après elle l'invita à la suivre vers le milieu de la clairière. Là ou avait été posé le violon un petit peu plus tôt.
Sans attendre une autre invitation de la part de la belle fille. Miriel s'assit à même le sol pour pouvoir écouter tranquillement Mélinda jouer du violon. Très vite, Miriel se retrouva plongé au coeur de la mélodie. Les yeux fermés elle tenta d'imaginer que les notes prenaient forme dans le ciel. Tentot amusante, tentot triste, des images en harmonie avec ce qu'était en train de jouer la jeune fille.

Quand Mélinda s'arrêta pour lui demander son avis, Miriel avait un visage qui aurait donné l'impression qu'elle était en train de réfléchir à une critique constructive, mais ...

"C'était magnifique. Ça fait longtemps que tu en fais ? Tu en joue beaucoup ?"

Si c'était possible les yeux de la jeune Miriel se seraient transformés en étoile. Tout en écoutant les réponses, Miriel se leva en réfléchissant sérieusement. Et cette fois c'est pour de vrai. Durant la mélodie elle avait cru reconnaître un petit air familier avec une chanson qu'elle avait un jour entendu et chanté à plusieurs reprises. Ou peut être que ça n'avait rien à voir, mais que sa lui avait rappelé cette épisode là.

Le compliment de la jeune dame alla droit au cœur de notre demoiselle. Cette phrase qui aurait put paraître banale dans la bouche de quelqu’un d’autre toucha particulièrement cette jeune fille aux yeux saphir. Les compliments chez notre jeune fille n’avaient pas la particularité de pleuvoir sur elle, et lorsqu’elle faisait une chose de remarquable, de belle, de satisfaisante, on hochez de la tête, on remarquez qu’elle s’améliorait un peu, mais elle reçue jamais de sourire encourageant, jamais de compliments. Encore l’une des nombreuses choses incompréhensible dans cette famille de riches et respecté personnes. Mélinda laissa un de ses sourires ravissant fleurire au coin de ses lèvres, en cette nuit de saison chaude elle ne se sentait pas seulement heureuse d’être loin de chez elle, mais aussi comprise, ou regardé par une personne extérieur à sa demeure.

- Merci, c’est gentil…

Elle laissa en suspend cette phrase le temps d’écouter les bruits nocturnes de la foret et de s’assurer qu’il n’y avait que deux personnes en cette clairière. Sa voie mélodieuse se répercutant plus loin dans le noir, dans la nuit, elle se tourna lentement vers Miriel, jeune fille d’on elle venait de faire la connaissance et qui lui plaisait déjà. Non pas par ses compliments mais tout simplement qu’elle était présente, et qu’elle ne regardait Mlle Sollem ni avec dégoût ni avec inintérêt.
Une idée passa par la tête de notre douce demoiselle aux yeux azurs. Et si ?!

- Dis Miriel ? tu veux essayer d’en jouer ?

Un sourie rassurant sur des lèvres enfantines, car oui, c’était bien ce qu’elle était, du haut de ses 17ans, Mélinda n’était qu’une enfant assoiffer de savoir et de liberté, mais qu’une enfant fragile. Elle proposa donc à sa nouvelles connaissances si elle désirait de partager sa passion pour la musique sa passion pour le violon.

[J’ai écorché ton prénom dans mon 4ième post « - Oh heureuse de te connaître Mirial »]

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