Dans un village de Falmaris détruit

Le soleil pointait à l'horizon, Kaïne décida d'aller se promener dans un village voisin qui avait été dévaster par les humains. Peut-être y trouverait-il quelques chose d'intéressant

"Maudits humains, vous dévaster tout...comme à chaque fois !"

Kaïne venait de tomber sur un landau brisé, Pourquoi les humains étaient si violent dans leurs capture des Falmaris ? Pourquoi avaient-ils besoin d'eux au point de tout détruire ? Qu'est ce que les Falmaris leurs avaient fait ? Kaïne n'avait pas de mot pour décrire sa colère il en voulait aux humains pour leur brutalité, leur cruauté. Comment un peuple pacifiste peut donner autant envie de leur faire du mal ? Il fallait qu'ils renverse ça, il fallait qu'ils reprennent leurs droit. Mais comment un peuple pacifiste pourrait faire ça ? Comment les conduire a une révolte contre les humains ? Il eu une idée, pourquoi ne pas libéré les Falmaris emprisonner ? Eux aussi devrai détester les humains. Beaucoup de question sans réponse, Kaïne décida donc d'aller dans la ville libéré les Falmaris prisonnier et il en profiterai pour leur demander pourquoi les humains avait tant besoin d'eux. Il se rendit donc en ville avec toute la discrétion dont il était capable se transformant en fleur si il risquait de se faire repéré.

[Il y a longtemps que tu attends! Et moi qui suis en manque de rp et qui n'a guère d'idée pour ouvrir un topic. Te voilà chanceux, cher ami! ;)]

La jeune femme quitta sa demeure ce matin-là, en laissant Ace, le gardien de son coeur, dormir. En effet, elle se rendit à sa maison en ville en empruntant une des voitures de son propriétaire. Elle prit soin de se vêtir de sa cape rouge, comme sa réputation l'exigeait. Elle alla à son appartement où elle prit quelques affaires qu'elle rangea dans des valises pour le moment, les mettant dans la valise de la voiture. Elle quitta son ancienne demeure et alla en direction de la forêt puisqu'elle y avait laissé son panier d'osier rempli de fleurs.

Arrivée, elle gara la voiture, sortit et vérouilla cette dernière. Elle se rendit à la lisière de la forêt, cherchant son panier.

*Après tout, il se peut qu'une personne malhonnête l'ait pris.*

Mais elle garda espoir de le retrouver malgré que les probabilités étaient nulles. Mais soudain, un tas de fleurs séchées et mortes gisaient sur le sol. Elle s'en approcha et constata qu'il s'agissait de sa récolte d'il y a quelques jours. Elle s'agenouilla et contempla l'empleur de son oubli.

"Probablement qu'un animal affamé s'en est servi comme repas!"

S'exclama-t-elle en haussant nonchalamment les épaules. Elle se releva et regarda aux alentours, se répétant que son panier ne devrait pas être à l'autre bout du monde, qu'il devait être tout près. Le cherchant des yeux, elle le regarda finalement sur un buisson. Elle s'en approcha, le prenant furtilement dans ses mains.

"Je crois bien que tu es foutu. Je devrais te remplacer. Tu m'as, tout de même, servi pendant de nombreuses années!"

Dit-elle tout haut. Puis, instinctivement, elle tourna sa tête vers les profondeurs de la forêt. Quelque chose lui dictait d'aller y faire un tour. Elle s'engagea dans un sentier non battus, laissant son ancien panier tombé sur le sol, comme si tout souvenir de sa vie s'effaça de l'esprit de la jeune femme, aujourd'hui préoccupée par un sentiment important. Elle s'aventura, s'interrogea de sa venue en ces lieux. Elle marcha pendant de longues minutes, voire même 30 à 40 minutes. C'est alors qu'elle arriva à un endroit où les arbres vinrent à manquer, permettant de voir un ciel à découvert. Elle regarda, d'abord, vers le ciel, puis, elle reposa son regard devant elle où elle aperçut une silhouette. Et puis, petites habitations. Un ancien village décimé par la cruauté humaine songea-t-elle.

Elle alla à la rencontre de la silhouette qui ne l'avait probablement pas entendu tant elle se fit discrète.

"Dites-moi, s'agit-il vraisemblablement d'un ancien village de Falmaris?"

Demanda-t-elle avec courtoisie.

Kaïne continua de faire le tour des lieux, dans ce village détruit. Quelques endroit était bruler, d'autres, simplement abattue. Il allait rentré dans une des maisons détruire, mais une présence derrière lui se fit entendre. Se retournant vivement, La première chose qu'il vu était une jeune humaine avec un chaperon rouge. Elle ne semblait pas agressive, loin de là. Elle paraissait même sans défense, mais les humains, les plus inoffensif sont parfois les plus dangereux. Kaïne était sur ses gardes montrant les croc, avec un regard effrayant. Prêt à lui sauter dessus si sa vie était menacer. Elle lui demanda d'une voie gentille si elle se trouva bien dans un ancien village de Falmaris mais Kaïne resta immobile, toujours méfiant et sans réponses.

La jeune femme fit surprise de voir une personne montrer ses crocs de la sorte. Elle recula quelque peu, mais resta tout de même confiant, n'ayant pas réellement peur, quoiqu'il était prêt à lui sauter dessus si l'occasion se présentait.

"Je ne vous veux aucune mal, au contraire..."

Lui dit-elle d'une voix calme.

"Je ne faisais seulement que passer et, puisque vous êtes ici, il me semble que vous devez connaître cet endroit pour être autant sur vos gardes."

Déduisit-elle alors qu'elle resta sereine.

Voulant le mettre en confiance, elle retira son capuchon, découvrant son visage inoffensif et calme. Par conséquent, elle n'esquissa pas l'ombre d'un sourire. Elle voulait seulement savoir si ce village décimé était un ancien village où vivait, jadis, les falmaris. Elle le fixa, intriguée par son silence. Pourquoi une telle personne aurait peur de lui répondre au point d'être sur ses gardes et montrer ses crocs?

La jeune femme resta à l'écart, préférant une distance sécuritaire pour ne pas qu'il lui saute dessus comme un chien enragé. Tout de même, la jeune femme ne désirait pas l'attaquer ni le liquider. Ce n'était pas son intention. Même que l'on pourrait avouer qu'elle ne se doutait même pas, rien qu'un peu peut-être, qu'il s'agissait d'un falmaris, plante servant à assouvir les sens des vampires. L'apparence humaine de la personne ne témoignait pas cette occupation de la vie.

A voir Kaïne on aurai presque dit un animale sauvage, mais c'était plus ou moins naturel venant d'une créature de la nature. C'est comme si l'humaine ne savait qui il était, ou alors elle faisait semblant, et comme il n'y a rien de plus dangereux que les humains, il se recula un peu pour mettre de la distance entre eux deux. Elle enleva sa capuche découvrant son visage, mais ayant cru qu'elle allait l'attaquer il partit dans la maison la plus proche pour se cacher. Il fonça comme il pu pour trouver un endroit à l'abri de cette dernière, mais rien, il venait de se coincé lui même, regrettant son geste. Il l'attendait, voir ce qu'elle allait faire, toujours prêt à en découdre, ayant son cœur qui battait à la chamade, Kaïne était tellement perturber qu'il n'arrivait plus vraiment à réfléchir normalement, il ne voulait qu'une chose, partir très loin d'ici et très vite, mais une humaine lui barrai le passage. Il n'avait que peu d'option devant lui, soit il se laissait faire, soit il devait se battre, mais n'étant pas sur de sa force, il préférai ne rien tenter, sa gorge était sèche et il n'avait aucune envie de lui parler, rien même pas un son. Kaïne imaginait beaucoup de chose dans sa tête, il pensait qu'il allait être capturer comme la première fois, cela l'effrayait énormément, il ne voulait absolument que ça arrive. Tout mais pas ça.

Lawrence fit un bond en arrière alors qu'il partit rapidement pour se réfugier - et se cacher - dans une ancienne maison, autrefois, en bonne état. La jeune femme fut surprise de cette réaction, car elle ne voulait aucun mal à cet être. Elle eut la plausible hypothèse qu'il s'agissait d'un falmaris en liberté qui devait, non qui doit avoir peur de toute race humaine, tant une peur et une angoisse constante de se faire capturer plane dans son esprit. C'est alors que la jeune femme comprit un peu mieux sa réaction. Mais ne voulant pas lâcher prise, tant elle était porteuse de bonnes volontés, elle se dit que, attendre trop longtemps pour aller le voir, créerais un élément de surprise au point de l'effrayer encore plus. Sans plus attendre, elle se dirigea vers l'entrée de la maison, là où il s'était coincé lui-même après avoir prit conscience de son geste. Doucement, sa silhouette féminine fit son apparition dans l'embrasure de l'ancienne porte.

"N'aie pas peur. Je ne te veux aucun mal..."

Dit-elle sur un ton qui se voulait être rassurant. Elle le fixa sans toutefois le rendre mal à l'aise ou encore plus anxieux qu'il ne l'était déjà. Lorsqu'elle s'arrête, une distance rassurante les séparait. La jeune femme sentait, néanmoins, la fébrilité et la tension palpable qui régnait dans la pièce.

"Je suis Lawrence Levy, jardinière."

L'informa-t-elle de sa voix douce, sans être snobisme.

"Et toi, qui es-tu?"

Lui demanda-t-elle alors qu'elle tentait de créer un climat réconfortant et rassurant pour la jeune personne fébrile se tenant devant elle. Lawrence préféra l'emploi du «tu», préférant cela à la formule de politesse tant le «tu» inspirait une certaine complicité et un certain réconfort.

Dès lors, elle patienta jusqu'au moment où il se mettrait à parler pour lui dévoiler son nom...peut-être...

L'humaine apparue devant la porte, ça y est, Kaïne était bloquer. Il ne pouvait plus rien faire à par se battre pour sa vie. Il allait lui sauter dessus, mais il s'arrêta et se calma légèrement en entendant le mot "jardinière". Kaïne savait que ces gens s'occupait des plantes et de la nature, c'était les humains les moins dangereux mais il restais des humains tout de même.

"Je... je m'appelle... Kaïne."

Il parlait avec une lenteur voulu, lui montrant bien qu'il ne lui faisait pas confiance et ne s'approcha pas pour autant restant la ou il était encore sur le qui vive.

"Je... je m'appelle... Kaïne."

Enfin, il avait parlé. Pour la première, un son, une voix avait sorti de corps effrayé et méfiant. Lawrence sourit, mais de manière imperceptible. Il aurait fallu une loupe pour voir les démarcations provoquées par un sourire. Lisant la méfiance dans ses yeux, elle n'insista pas et n'avança pas d'un poil. Elle resta immobile, devant lui, à quelques mètres, dans la maisonnée où il était bloqué.

Puis, elle confirma le fait que c'était un falmaris. Cette méfiance envers les humains leur était particulier. Il craignait d'être capturé et se battrait pour avoir raison, pour ne pas être prisonnier pour le restant de leurs jours.

"Kaïne... je comprend que tu aies une telle méfiance en toi, mais je suis jardinière et j'aime les fleurs et les plantes. Je les chéri comme si c'étaient mes propres enfants. Je... je ne veux pas leur faire du mal. Ce sont des êtres vivants également. Ils méritent un respect eux aussi... tout comme toi."

Lui dit-elle, bien que, jeune, elle en avait eu un falmaris à la maison. Mais ce penchant pour les plantes lui avaient permis de donner les meilleurs soins qu'un falmaris puissent recevoir, recevant, également, l'amour qu'elle lui devait. Elle sourit de manière réconfortante et rassurante, espérant que cela le rassure quelque peu.

"Kaïne, je ne te veux aucun mal, au contraire. Si je pouvais prendre soin de toi, cela me ferait grandement plaisir..."

Rétorqua-t-elle sur un ton doux et chaleureux, avec le même sourire qui ne quittait pas ses lèvres.

Malgré tout les efforts de Lawence, Kaïne n'était pas en confiance et ce sourire ne lui rappela que trop bien celui de l'humain qui avait découvert son village. Il pensait à beaucoup de chose en même temps, surtout pour s'enfuir, mais le problème restait le même, cette humaine qui bloquait la sortie et qui visiblement ne voulait pas bouger.

"Alors pourquoi vous rester là laissez moi tranquille ! Je ne veut pas vivre avec vous, vous êtes tellement égoïste et malveillant."

Kaïne parlait des humains en générale, mais n'excluait pas l'humaine du lot. Ne la connaissant pas et malgré ce qu'elle clamait, rien ne le ferai changer d'avis aussi vite et tant qu'il ne serai pas dehors.

[Gosh! Ça l'aurait fait un mois mardi que tu attendais ma réponse! Je t'épargne cela en te répondant tout de suite! ^^]

La jeune femme voyait bien que même si elle insistait dans un calme et une bonne volonté, cela ne viendrait pas à convaincre Kaïne de bien cesser de se dresser sur ses pattes à chaque fois qu'elle tentait d'être douce avec lui.

*Ça ne donne rien d'insister... Il ne veut rien savoir...*

Lawrence esquissa un vague sourire suivit d'un long soupir, mais qu'elle étouffa aussitôt. Elle haussa les bras, l'air de dire qu'elle avait tout essayé, mais en vain. Il restait sur sa position. Elle comprenait. C'était bien normal après tout. Il est plutôt difficile de faire confiance à un humain en ces temps où les falmaris devaient donner de leur sang pour abreuver les esclaves vampires de la race supérieure. Elle fit deux pas en arrière et regarda le jeune falmaris sur ses gardes.

"Eh bien, je ne vais pas m'acharner à discuter avec toi. Tu ne veux, c'est bien ton choix. Cependant, sache que tu ne pourras pas vivre éternellement en liberté. Je doute fort que cette vie continuera pour toi. Un jour, quelqu'un va te prendre pour te vendre à un maître potentiel. Je te proposais de venir vivre avec moi pour ton bien puisque tu aurais connu un bien meilleur sort et avenir en ma compagnie qu'avec un maître sans pitié."

Sur ce, elle se retourna et s'engagea dans le seuil de la petite maison détruite. Avant de disparaître à l'extérieur, elle s'arrêta et n'osa pas faire volte-face.

"Ce fut un plaisir, malgré tout, de te connaître, Kaïne..."

Puis, elle sortit à l'extérieur, mais resta tout près, dans l'espérance qu'il sorte et change d'avis, ce qu'elle doutait fort.

Kaïne ne se sentait pas bien, il savait pertinemment que ce qu'elle disait n'était pas faux, mais il ne se laisserai pas prendre comme ça. Il comptai bien libéré les autres Falmaris et en aucun cas il serait l'esclave d'un humain. il sortit doucement et elle semblait l'attendre, ça le surpris. Peut être qu'elle attendait le moment propice pour le capturer.

"Avant que tu parte... Je voudrai... Te demander quelque chose d'important... Pourquoi les humains ont tant besoin de nous. Vous avez déjà d'autre humains pour vous servir, on ne vous sert à rien."

Peut être que si il en connaissait la réponse, il pourrait mieux comprendre en quoi les Falmaris ne tentait pas de retourner à la foret quand il était esclave de leur maitre. Kaïne avait vraiment besoin de savoir en quoi sont peuple avait été persécuter jusqu'à aujourd'hui.

Devant la question de Kaïne, Lawrence ne put qu'avoir une moue désolée en se retournant vers lui. Elle le fixa longuement avant de répondre comme si elle cherchait à prononcer les mots justes pour éviter de craindre de nouveau qu'il se jette sur elle sans crier gare. Le monde d'aujourd'hui était bien injuste pour les créatures que l'on considérait inférieures aux humains. À quelques différences près, vampires, falmaris et humains étaient similaires. Des yeux, la jeune femme chercha un rocher. Elle en trouva un à cinq pas d'elle. Elle y alla et continua à réfléchir aux mots qui allaient servir de réponse au falmari. Au bout d'un moment, elle soupira très profondement, démontrant qu'elle allait enfin lui répondre. Elle releva la tête, ayant un air désolé. Impassible et indifférent aurait été hors contexte dans la mesure où elle ne préconisait pas l'esclavage et l'abusement de ces créatures.

''Kaïne... Je ne suis peut-être la meilleure personne pour te l'expliquer, mais je vais tenter de te répondre dans la mesure du possible et de mes connaissances.''

Énonça-t-elle avec calme comme pour le prévenir que sa réponse pouvait le choquer. Finalement, elle se lança:

''Selon, les humains ne veulent pas se rabattre à avoir des domestiques ou des esclaves, peu importe le terme, ayant une désignation humaine, autrement dit, qui soit un humain. Oui, il existe les classes sociales de la société, mais les gens en tiennent compte que dans certaines situations et lorsque cela les arrangent. Il y a longtemps, c'était nous, les hommes qui servaient d'esclaves aux vampires. Vous, falmaris, étiez libres. Était-ce mieux jadis qu'aujourd'hui? Ça varie selon les races... ce qui est certain c'est que ni vous, ni vampires, ni moi ne veuillent être inférieurs. Et dans la nature humaine, cette mentalité est plus qu'omniprésente... Avec le temps, l'histoire a fait l'effet inverse: nous sommes devenus les <mâitres>, les vampires, les esclaves et vous, falmaris, esclaves de deux races. Les maîtres ont besoin de vous et les vampires aussi afin qu'ils puissent continuer de vivre. Je ne connais pas toute l'histoire dans ses moindres détails, mais le fait que ayons si besoin de vous c'est pour subvenir au besoin de boire du sang des vampires que l'on maintient esclaves. Cependant, dans mon cas, je puis très bien vivre sans ni l'un, ni l'autre. Je cherche surtout à vous protéger, vous falmaris puisque je vous considère comme étant une race fascinante...''

Raconta Lawrence alors qu'elle y alla avec calme et respect pour ne pas le brusquer.

''Je sais que ce n'est pas la plus noble des choses que d'exploiter des êtres vivants de la sorte, mais la nature humaine est ainsi faite depuis quelques décennies seulement.''

Dit-elle. Elle se leva et se rapprocha non dangereusement de Kaïne.

''Tu peux continuer de te sauver pour libérer les tiens et craindre sans cesse d'être capturé ou de vivre une vie plus calme et sans stress en ma compagnie. Je te donne le libre-choix. Peu importe soit-il, je le respecterai dans la plus vieille des traditions humaines oubliées: le respect du choix d'autrui et l'encouragement à poursuivre sa voie...''

Sur ce, elle le fixa pendant de longues minutes et finit par se retourner pour commencer à retourner sur ces pas pour retourner chez elle. Elle fit volte-face et observa le jeune falmari.

''Tu as le choix, Kaïne. Et qu'importe... je le respecterai. Je te dois bien ça après toute la frousse que j'ai pu te causer.''

Kaïne était perplexe devant ce qu'elle venait de dire, il parut figé, il avait du mal à assimilé l'information. C'était donc son sang, le sang des falmaris qui étant tant convoiter et qui les obligeais à être esclave des humains, c'est vraiment atroce.

"qQi me dit que toi non plus tu n'a pas un "vampire" à nourrir et que tu veut mon sang ?"

En réalité, il ne savait plus quoi penser. Il serai bien venue avec Lawrence, mais si il partait avec elle, il ne pourrait plus sauver les falmaris et c'était bien pour ça qu'il en était arrivé la.

"Je veut bien venir avec toi, mais à une seul condition... Que je puisse sauver les autres falmaris esclaves."

Il était bien décidé à les sauvés quel qu'en soit le prix.

Lawrence s'empressa de le rassurer.

"Nul besoin de douter de moi, Minka. Je n'ai guère de vampires qui devront s'abreuver de ton sang pour rester en vie."

Souligna-t-elle.

Aussitôt, Minka accepta sa requête sous une seule condition: celle d'avoir la liberté de libérer les autres falmaris devenus esclaves contre leur volonté. La jeune femme hocha la tête avec un léger sourire. C'était la moindre des choses après tout. Par ailleurs, elle se rapprocha de cet être qu'elle avait réussi à «apprivoiser» et à rassurer avec la simple logistique du corps et de la voix avec laquelle elle avait pesé ses mots afin de créer un contact réconfortant envers ce falmaris. Arrivée à une distance qu'elle jugea raisonnable et respectable dans la mesure où elle n'empiètait aucunement sur l'espace vital de Minka qui avait toujours une certaine liberté sous la tutelle de sa jeune maîtresse, Lawrence.

"Tout ce que tu veux... Cependant, dans la mesure du réel, je crois que tu seras d'accord avec moi avec le fait que je devrai t'identifier en tant que falmaris à Lawrence Levy. Oh non, ne crains rien, il ne s'agira que de porter un simple bracelet à ton poignet à mon nom. Comme ça, si l'on vient à te capturer lorsque tu te promèneras dans la ville, tu ne seras pas remis à la vente. Au contraire, on te relâchera afin de continuer d'errer."

L'informa-t-elle alors qu'elle jugea que, même si elle était une maîtresse à l'esprit ouvert et critique, elle devait faire preuve de jugement en informant la population de Galway que ce jeune falmari lui appartenait et que personne d'autre ne mettrait la main dessus.

"Il s'agit là que d'une minime contrainte comparée à toute la liberté dont tu auras droit sous mon toit, Minka. Qui plus est, je dois bien être la seule dans tout Galway qui puisse donner une liberté aussi joussive que celle dont je vais te gâter. Puisses-tu en faire bonne usage après tout."

Énonça-t-elle alors qu'elle esquissa un plus large sourire rassurant, démontrant toute la sincérité qu'elle avait à lui offrir.

Kaïne venait d'accepter d'être comme tout les autres falmaris aux ordres des humains, mais il n'allait pas revenir sur sa parole. Il s'apprêtait à la suivre jusqu'à la ville quand il se souvenue qu'il valait mieux être sur ses garde, surtout dans une ville pareil, il rentra dans une maison proche et ressortit avec un couteau qu'il mit dans une poche.

"Je préfère ça qu'être sans défense."

Donnant la raison de son action, puis il partit avec Lawrence vers la ville.

Lawrence sursauta lorsqu'il fit volte-face pour retourner dans l'une des petites maisons en ruine. Elle croyait qu'il avait changé d'avis et à ce moment-là, elle soupira. Elle qui l'avait eu, elle avait manqué son coup. Elle s'apprêta à partir pour de bon, ne voulant pas insister, mais quelque chose la retint: son instinct. Elle resta tout de même immobile et Minka ressortit quelques instants plus tard en insérant un objet à la lame aiguisée dans sa poche. La phrase qu'il lui adressa la rassura sur la véritable usage de cette arme.

"Bien... Mieux vaut prévenir que guérir à ce qu'on dit!"

Rétorqua-t-elle alors qu'ils commencèrent à marcher côte à côte dans la forêt pour retrouver la voiture stationner de la jeune femme qui avait complètement oublié la raison pour laquelle elle était revenue ici. Après plusieurs minutes, ils sortirent de la forêt. S'aventurant un peu dans le parc, Lawrence finit par cerner sa voiture des yeux.

"C'est par ici, suis-moi Minka."

Lui dit-elle alors qu'elle se dirigea vers son véhicule, son falmari à ses talons. Elle sortit ses clés, appuya sur le bouton faisant démarrer la voiture et appuya sur un deuxième pour déverouiller celle-ci. Elle alla ouvrir la porte à Minka et lui sourit.

"Nous serons à la maison dans quelques minutes. Là où tu seras en sécurité et que tu ne craignera plus d'être capturé."

Répliqua Lawrence alors qu'elle se dirigea vers le côté du conducteur pour arriver à la maison le plus vite possible. Elle qui avait si hâte de présenter son falmari à Ace, inséra la clé à l'endroit indiqué et partit en direction de sa nouvelle demeure.

Kaïne ne s'attendait pas à monter dans une des ces chose métallique, il en avait vu mais il se tenait toujours à distance ne voulant pas crée de problème avec et maintenant, il devais monter dedans. Kaïne commençait à appréhender ce moment, mais il fini par ouvrir la porte assez maladroitement puis s'assit à coter de Lawrence, il fit un sursaut quand il entendit la voiture gronder pour démarrer, il n'y était vraiment pas habitué.

*Brrr dans quoi je me suis embarqué.*

Pendant toute la durée du trajet il était crispé autant que possible et il poussa un soupire lorsqu'il sortit de la voiture. Il ne comptait plus jamais y remettre les pieds, Kaïne venait de vivre une expérience qu'il ne comptait pas renouveler, puis il regarda un peu autour de lui et constata qu'il y avait une très grande maison en face, ça devais surement être la demeure de Lawrence.

[Je fais la suite chez la demeure d'Ace McCarthaigh. On ne peut pas rester indéfiniement ici quand même!]

[D'accord maitresse =D]

[C'est ici!]

» Avis aux Falmaris
» Promenons nous dans les bois, les deux loups avec soit (libr
» Dans un coin... [FINI]