Il était tard, une nuit fraiche enveloppé une silhouette de jeune homme accoudé à sa fenêtre. Un jeune homme désormais facile à reconnaître, le jeune Arlind qui, devant une des fenêtres de son apartement songeait à quelques futilités sans doute trop futiles pour être énnoncées ici.
Devant lui, le ciel noir commençait à prendre quelques teintes de couleurs. Dans une heure ou deux, le soleil se léverait et innonderait le paysage givré se trouvant à ses pieds, d'une douce et pâle clarté. Celle du soleil le matin, endormit comme les habitants de la région qu'il éclairerait.
Cependant, le jeune blondinet n'avait pas dormit de la nuit et avait préféré rester dans son petit salon, à regardais des photographies plus ou moins récentes de son passé, quelques unes relataient de son enfance prés de ses parents. D'autres le montrait quelques années auparavant, dans un des hôpitaux de son pére, entrain de secourir des patients ou tout simplement, quelques photos bêtes, inutiles et sans aucun intêret.
Las de tout cela, il avait donc poussé un petit râle de mécontentement et s'était précipité à sa fenêtre pour admirer la nuit commencant sa "disparition" ni plus ni moins qu'un tour de passe-passe à grande echelle se disait souvent Allan.
Mais ce spectacle, pour une raison inconnue à ses yeux, ravivait toujours une petite flamme de bonheur depuis longtemps endormie dans ces méandres de solitude.
Tout en sifflotant, le coude gauche posé sur le rebord de la fenêtre ouverte, il fixait le ciel, puis le paysage, puis le sol qui s'étendait en dessous. Les quelques ivrognes passant à proximités. Marchant comme des cannards pour rentrer dans leurs domiciles respectifs, acceuilis ou non.
Puis, au clair d'un Lune tentant à s'effacer, une ombre se mouva. Allan ne comprit pas tout de suite ce que cela pouvait être mais continua de fixer cette "chose" mouvante furtivement.